c'est entre parenthèses dans un temps qui n'existe pas. Noir désir

Il était une fois...

Il était une fois une princesse.
Oh, nan, pas une princesse drapée d'or et de feu,
avec des perles en argent dans les cheveux...
juste une petite princesse tombée sur la terre
un peu comme le petit prince son petit frère.
Parce qu'on fait tous un peu partie de l'histoire de ce ptit gars
qui voulait qu'on lui dessine un mouton pour les soirs où il aurait froid...
Mais la princesse avait beau aimer grandement les moutons
, les chèvres, les ovins et que sais-je encore, les avions...
elle préférait un prince....
Alors la princesse demanda à l'aviateur de lui dessiner un prince. L'aviateur lui fit un très joli dessin.
Il y mis beaucoup d'amour,
pas mal d'humour,
un rien de bonheur,
beaucoup de valeurs...
La princesse se mit alors à chercher le prince.
Elle rencontra tout un tas de princes, beaux, grands
qu'on pouvait vraiment qualifiés de "charmants"
Mais à chaque fois, le vent tournait
Et elle les comparaient
avec le dessin de l'aviateur...
Mais elle attendait toujours son heure...
Parce que tous les princes ne ressemblaient pas à l'unique.
Ils étaient parfois très biens, mais jamais comme le dessin.
la princesse déséspérait parfois... pas tout le temps,nan juste de temps en temps (et j'arrête à présent de faire semblant d'écrire en rimes, c'ets grave stupide et loupé ^^).... parfois quand elle voyait d'autres princesses au bras de princes...
Et puis un jour la princesse rencontra un nouveau prince. Il était différent, mais était t'il le bon? Elle apprit à le connaitre, à l'apprécier, le détéster, à lui manquer, le retrouver... et lui écrire...
La princesse crut tout d'abord que c'était le bon prince, celui du dessin. Mais plus elle le voyait, plus elle doutait. Et un beau jour elle finit par faire de lui un ami. Un vrai "pote".
Mais le Prince n'était pas toujours tout à fait lui même... et il s'égarait parfois dans des pentes glissantes avec des mots que la Princesse ne comprenait pas où qu'elle ne voulait pas comprendre.
Mais le Prince finit par se faire comprendre de la Princesse... il l'aimait. Non, il ne l'aimait pas, il l'aimait depuis déja si longtemps et il l'aimerai encore autant de temps qu'il le faudrait.
La princesse était perdue.
Elle ne voyait plus le moindre centimètres carré du chemin, elle ne trouvait plus son dessin, elle se cognait dans tous les bords, dans tous les murs, il faisait noir. Pas si noir. Il y avait une lumière, une très belle et très grande lumière juste devant elle. Mais la Princesse ne voulait pas accepter d'être dans cette lumière.
Le Prince attendait la princesse et lui offrait sa lumière. mais la princesse était libre et elle froissait le dessin de l'aviateur dans ses poings fermés, elle aurait préféré avoir un plan ou une carte routière...
Aujourd'hui la Princesse se cherche, elle se trouve parfois, aux alentour d'un sourire, d'une parole que lui adresse le Prince, mais parfois elle se noie, elle perd pieds dans d'autres paroles, ou d'autres sourires du Prince...
Mais il lui reste le temps, la lumière, le dessin, et l'Aviateur....
(et le nutella... et ses exos de maths, ne les oublions pas, mon dieu!)

(fin de l'histoire trop naze et gnagnan... la prochaine fois je te dédierais "comment de pas être une princesse en 20 leçons")