Il y aura toujours un peu de blanc pour ceux qui veulent être entendus
Nico : Coucou, juste pour te dire je suis tombé par hasard sur tes pages et j'aime beaucoup tes interrogations et tes mots. Keep the head UP :)
choupi : I will try. Merci d'avoir laissé un mot, repasse quand tu veux :)
nico : nicobear@hotmail. fr lol. Je croyais que tu pouvais la voir
Nico : What happened miss no news ? Good news I hope :)
Carnetsfroids : Remets-toi à écrire. La vie doit continuer.
Nico : GIVE ME SOME NEWS PLEASE !
NicO : REVOLUTION POINT COM :)
penseeenvrac : hey, une rencontre joueb, ca te dit?? [Lien]
penseeenvrac : sondage sur les dates pour la rencontre joueb : [Lien]
penseeenvrac : RENCONTE JOUEB [Lien]
AzariahetBard : Hello. And Bye. cnmwnicmxricmx,e r mrfpwrermcegm ericmercmeecec
ererBoomY : Пр 086;да ;ю ак&# 1082;аm 1;нт& #1099; Youtube.com PVA
Та&# 1082; же ес&# 1090;ь мн&# 1086;гl 6; др&# 1075;иm 3; ак&# 1082;оk 4;: со&# 1094;. се&# 1090;еl 1;, по&# 1095;тl 6;ви& #1082;о
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Premier Jour
(Printemps dernier, cerisier du jardin) Plus?
Je voudrais me souvenir de tout et pourtant certains détails
m'échappent déjà et je referme les paupières, les lèvres et le coeur
sur du vide.
A partir de 13 heures j'ai su que ça allait
déborder. Déborder de ce je ne sais quoi, cette synergie qui fait
qu'ensemble on crée du beau, on crée du bien, on crée du magique, de
l'émotionnel, du rire, de la folie. De la vie.
Il était 13
heures, un soleil radieux, on était tous les quatre assis sur le
goudron de la cour. La personne que je voudrais connaitre, Al., Di., et
moi. J'avais viré le mentaux et le pull, on jouait avec les
graviers, je ne connaissais pas mon espagnol et je m'en foutais, on
lisait du Prévert et on parlait de souvenirs et de mémoire. J'en ai
profité pour inviter, un peu au dernier moment, Di.
C'était beau, bien, magique, émotionnel, drôle, fou. Vivant.
Alors quand je suis rentrée chez moi, en retard, avec un énorme carton qui contenait le gâteau, je savais que tout irait bien. Il
y avait du soleil, mais du soleil putain, des fleurs dans le cerisier,
ma mère avait vidé le salon, c'était vide et blanc, il y avait trop de
choses à faire, installer le buffet, prendre un douche, déménager la
moitié de ma chambre.
A 18h45 on a sonné, j'étais encore en collant. C'était
Adeline, fidèle à elle même, en train de râler à propos de sa grand
mère communiste et de son gars du bus à elle, qui, en fin de compte,
est un sacré enfoiré. Je lui ai montré ma chambre, mes parents et ma
petite sœur sont partis, on a mis Little Dolls sur deezer et son jus de
pomme bio au frigo. Par la fenêtre de la cuisine on a vu la personne
que je voudrais connaitre, qui arrivait au loin. C'était tellement sa
démarche, son sac à dos, son pull pourri. ça me paraissait fou de le
voir marcher sur ce trottoire où je passe tous les jours. Alors on est
sorties, on s'est cachées derrière le mur pour lui faire peur, on a
rit, il nous a fait la bise, je lui ai montré les cartons d'oeufs bio.
Après c'était lancé.
Il
y a le moment où on est partis à la rescousse de Di. qui ne trouvait
pas la maison. Il a refusé de monter dans son quatre-quatre et nous a
suivi à pied. Il y a les arrivées de tout le monde, plus ou moins
spectaculaires, toutes aussi enthousiasmantes. Quand j'ai failli froler
la crise cardiaque. Trop bon.
ça se perd dans les souvenirs. Des
post-it jaunes dansent sous mes yeux, tout comme on a dansé. Il y a ton
sourire, ta façon tellement trop géniale de me dire que "tout est trop
bon". Je n'ai quasiment rien mangé en réalité. Des radis de façon démesurée bien sûr, mais sinon je n'ai même pas pris d'assiette. ça n'avait aucune importance, je voulais juste, comment dire, juste être partout. Il est malheureusement impossible d'être partout, c'est le grand problème de ce genre de soirée. Dédoublez moi.
De tout façon j'étais pile éléctrique. Les discours de Socrate et la course à cloche pied avec Di.
Il y a eu l'émotion aussi. Le
piano. Mistral gagnant, parce qu'on chante trop faux et que tu joues
trop bien. "Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux, car ils
ont l'avantage d'être deux". Et ce qu'il a joué. J'ai filmé. Je
voulais voler ce son, cette mélodie, voler ses mains qui semblaient
voler d'une blanche à une noire. Voler. Dans tous les sens du terme. (Et là pensez à cette scène cliché de Titanic: "Ooooh Jaaack je vole, je voole!") (Aahah, j'aime briser les mythes :))
La
musique colle à la peau, Al. qui essaye désépéremment de placer mes
doigts sur les cordes et les frêts pour me faire jouer un la. Le début
de "Nothing else matters", et ce sentiment d'admiration sans bornes qui
finit toujours par me submerger quand je l'écoute pincer les cordes.
La
musique. Et la danse. Je voudrais, je ne sais pas, je voudrais vraiment
vous remercier, Lu, Lili, cette initiative, "les garçons dos au mur"
(ahahah!), j'ai bien tenté de me mettre dos au mur en question, mais il
a refusé, parce que c'était lui, lui le garçon, lui tout court, lui
quoi, qui efface les murs et gomme le reste du monde. C'était. Je ne sais pas, c'était. Lemon tree -je crois-, vos conseils, un pas sur le coté et on se reprend la main. On
y arrivait pas très bien au début, alors on reéssayait, on réessayait
encore, sans s'arrêter, il me disait sans cesse "allez on refait", et
puis ta grande subtilité Lili (^^) "on se regarde dans les yeux c'est
plus romantique", alors on plaisante et puis si, on se regarde dans les
yeux, et ça marche, on tourne, il s'y connait trop en fait, je me
laisse guider, la tête me tourne, mais mon manège à moi c'est toi, ces
conneries là. Il m'a taquinée en me disant que je me tenais comme une bucheronne (ahah!), et alors j'ai lâché prise. J'ai
arrêté ma comédie de garçon manqué-femme castratrice, j'étais juste
moi, un peu petite (pour une fois ahah), un peu perdue, un peu trop
mince, un peu trop blanche, un peu trop en jupe, un peu trop fille, un
peu trop décolletée. Adeline en a d'ailleurs profité : "jvous
arrête parce que là il faut que tu remonte tout de suite ton débardeur,
il voit tout, ça va pas le faire".
Par la suite on n'a plus eu
l'occasion de danser de nouveau tous les deux, j'avais juste envie de
couper le son quand il dansait avec n'importe quelle autre fille, mais
ça va, je me suis maitrisée ^^ Et puis on a dansé le 'talon-pointe', la
danse bretonne, vous avez dégommez la lampe, et puis je ne sais pas, je
crois bien que les gens riaient et tout le monde se marchait plus ou
moins dessus, et toi Lili tu étais perchée sur ce tabouret, et on
chantait "talon pointe talon pointe, la main gauche la main gauche, la
main droite la main droite, les deux mains les deux mains" à s'en
casser la voix.
Claude François, les clodettes. La lampe à huile. La macarena. Rabbi Jacob. Les gens qui me prennent à part dans la cuisine.
La
balançoire dehors. Du haut du trapèze j'attrapais les cordes de sa
balançoire, et fuck les voisins, si on fait du bruit, et tu vas de
traveeers bordel.
Le gâteau. C'était beau, bien, magique, émotionnel, drôle, fou. Vivant. (Idée de génie :)) Toutes
les petites bougies, le noir du salon, et puis lui avec le gâteau (je
parie que vous l'avez trop forcé ahah). J'avais pas de petite larme à
verser, et j'ai mis huit coups pour tout souffler. Parfait.
Les
cadeaux formidables, le cheik marmite, le chocolat de flunch, et du
papier cadeau partout qui brille, et puis les bulles, ah les bulles. C'était...
du bonheur. Il n'y a pas d'âge. Fêter son anniversaire trois mois
après, ou faire des bulles à 18 ans, c'est du pareil au même tout ça. Le temps n'existe pas, je maintiens.
Même si, en vrai, les gens ont commencé à partir. Le
discours d'adieu d'Al. m'a bizarrement touchée. J'étais tellement
contente de lui montrer autre chose, de lui montrer qu'on peut faire
une soirée qui ne tourne pas à la beuverie. Et puis il avait l'air
content. Je suis tellement pour la mixité. Les métalleux qui dansent le rock'n'roll.
J'ai
raccompagné Adeline jusqu'à l'école, en débardeur, mais il y avait ton
pull bien avec l'étoile argentée. Elle avait été mignonne pendant la
soirée, un peu triste parce qu'elle devait penser à ce type, mais avec
moi elle voulait bien, allez viens, t'es obligée de danser, d'accord
mais avec toi.
Ma famille est revenue, toi tu es partie. Là
ils ont commencé à parler de faire le mur. Ahah, je me serai bien tapé
la tête contre le mur le plus proche moi. Il hésitait un peu, et puis
Di. lui proposait de le ramener, et J.C, j'aurais voulu le baffer à cet
instant, n'arrêtait pas. AAA mais il n'en finissait pas quoi! J'en
étais presque à me demander si c'était de la jalousie. "Non mais c'est trop simple de faire le mur pour rentrer à l'internat, y a personne à cette heure là, tu peux trop rentrer". Vous
avez été admirables. J'osais vraiment pas. Mais vous étiez là, "non
mais c'est trop tard, et puis le grillage, et ça se fait pas, t'as vu
l'heure?". Vous étiez là. Merci.
Il hésitait toujours, et
puis j'ai coupé court à la conversation en chargeant le flingue. "T'es
pas majeur, tu restes". Il a rit, mais il n'a rien dit de plus. Vous
avez fait votre discours d'adieu personnel, et sur le pas de la porte
vous m'avez donné votre avis. Et putain ce qu'il compte votre avis.
"Séquestre le". "Sois sage".
A ce moment là je te faisais des
signes silencieux, Lili, pour te dire qu'il fallait absolument que tu
restes dormir. Disons que s'il décidait de faire le mur pour rentrer
dormir à l'internat, j'allais tout simplement me retrouver en tête à
tête avec R. Et bon. J'avais pas très envie qu'il croit que tout était soigneusement prémédité.
A partir de là on a parlé. C'était beau, bien, magique, émotionnel, drôle, fou. Vivant. Non, pas si drôle que ça d'ailleurs. Les
histoires surnaturelles me mettent toujours mal à l'aise. Les rêves
prémonitoires de J.C et les gens qui sortent de leur corps. Néanmoins
c'était beau, ton témoignage était beau Lili, j'étais très heureuse que
les gens qui étaient présents t'entendent. R. a dit des trucs
intéressants aussi. Tout le monde d'ailleurs. J'étais sur le canapé
à coté de la personne que je voudrais connaitre. On a un peu laissé
tomber la conversation à un moment, pour feuilleter ton calendrier.
(Même si c'est contraire à mes principes ahah) On parlait à voix
basse, l'aquarelle avec le moulin rouge est la plus belle. Très beau
calendrier, et les tâches de chocolat font des souvenirs. Même si, en
fait, j'aurais pu feuilleter n'importe quoi avec lui, même le catalogue
de manu-france de 1892.
J.C me flippait de plus en plus ^^ "Un
jour je me suis retrouvé pendu à une corde sans faire exprès". Au début
j'ai cru qu'il avait essayé de se pendre. Ouais, j'ai l'esprit mal
tourné. J'aurais aussi préférer qu'il s'abstienne de son dernier exemple de rêve prémonitoire. "J'ai
rêvé que j'allais rencontrer quelqu'un, et le lendemain j'ai rencontré
Choupi". ça a fait rire tout le monde mais là il y a R. qui en a
rajouté un peu plus "mon père a rêvé qu'il allait rencontrer quelqu'un,
et le lendemain il a trouvé ma mère et il se sont mariés". Chouette.
Vers
4 heures du mat j'étais déconnectée. Très fatiguée, j'avais beaucoup de
mal à rester concentrée sur la conversation, qui était passionnante
pourtant, et puis j'avais super mal au ventre. (Non je l'ai pas dit,
pas envie de plomber l'ambiance)
Lili tu es partie avec J. et J.C. J'étais heureuse de vous voir si bien discuter avec Di. Elle a encore longtemps parlé, avec R. cette fois. Ils ont évoqué son frère schizophrène, et à la fin elle pleurait un peu. J'ai
pas vraiment vu, je débarrassais des assiettes en carton et des
bouteilles vides. La personne que je voudrais connaitre m'aidait, il a
même entièrement retrié les poubelles, mais bon, il est fou quoi. Di.
lui a demandé si finalement elle le déposait à l'internat, et puis il a
dit non. J'espère que ma tentative armée pour qu'il reste n'y est pas
pour rien.
On s'est retrouvé tous les trois, on a vaguement
fini de ranger. "On va vite se coucher les gars". Il y a eu un moment
de flou, ils ont pas compris pourquoi je montais pas dans ma chambre.
"eeeuh, il faut que tu me réveilles pour que je t'ouvre la porte
demain, si tu pars tôt pour l'internat". Je comptais les laisser sur
le clic-clac et dormir sur un tapis de sol, mais la personne que je
voudrais connaitre a dit qu'il prenait le tapis de sol. J'étais
vaguement déçue, en même temps ça partait d'une bonne intention, ne pas
me laisser dormir sur un centimètre d'épaisseur de plastique. J'ai mis ton pyjama. R.: - Heu, ça te gène si on dors à coté? Moi: - Non, je m'en fous. Personne que je voudrais connaitre: -Hum, vous avez qu'à dormir en tête bèche. Proposition
judicieuse. On s'est couché, R. a un peu ronflé, j'ai mal dormi,
j'avais super froid, en même temps j'arrêtais pas d'imaginer le moment
où il viendrait me réveiller.
Finalement, trois heures plus
tard, j'étais plus ou moins réveillée, dans un demi sommeil disons. Je
l'entendais marcher dans la cuisine mais je gardais les yeux clos. Et
puis il venu à coté du canapé, et il a juste prononcé mon prénom à voix
basse, j'ai ouvert les yeux de manière moyennement crédible et, fidèle
à moi même, je lui ai dit "putain c'est violent".
Tous mes réveils devraient ressembler à sa voix.
Me
suis levée, lui ai demandé s'il avait mangé, toutes ses affaires, pas
trop en retard pour l'internat, all is alright? Il a dit que c'était
bon. Il a dit "oh tu as mis le pyjama", et puis il a rit parce que j'avais laissé l'énorme étiquette. J'avais
froid, pied nu sur le carrelage et je serrais mes bras contre mon
corps, j'étais à l'ouest, j'ai pas réagi. Alors il a trouvé des
ciseaux, et puis les a reposé en voyant que l'étiquette était accrochée
par une épingle à nourrice. C'est un peu le dernier souvenir, lui dans mon dos et ses mains qui frôlent ma nuque. Après on s'est dit merci tout ça, la bise, et il est partit.
J'ai réintégré le duvet gelé, à coté de la forme sombre que dessinait la couverture sur R. La personne que je voulais connaitre avait soigneusement pliée la sienne au pied du centimètre d'épaisseur de plastique.
A 11h, je me suis réveillée parce que R. s'amusait à me dessiner des moustaches au feutre. On
a ouvert les volets, et j'étais en tee shirt dehors, alors que la
veille encore je dormais avec double épaisseur d'écharpes et je ne
sortais pas sans mentaux. A l'intérieur R. a trouvé un post-it jaune pour moi. Quelques
mots de la personne que je voudrais connaitre. Je souriais toute seule,
c'était pas grand chose, mais je l'imaginais juste, dans la pénombre,
en train de gribouiller ça, pendant que je dormais.
On a pris le
petit-dej avec mes parents. Cool. Ils ont agressé R. sur la Suisse et
ses études, je mangeais de ton gâteau Lu, parce que, d'après le
post-it, il en avait pris quelques heures plus tôt. On fait tous des entorses à nos principes. Le niveau du café dans le bol de R. ne semblait pas descendre, et mon père s'extasiait sur le travail des géomètres.
Après,
on est allé chez toi, Klère. C'était bien de te voir un petit peu plus
longtemps. R. en revanche, donnait vraiment l'impression de camper dans
le quartier ad uitam aeternam. Finalement on l'a descendu en voiture
au bus, et puis voila, au revoir, c'était bien, ouais c'était bien, à
une autre fois peut être alors. A 15 heures on a mangé, ma mère avait déjà entièrement rangé le salon, ça m'a culpabilisée. Et
puis elle avait déplacé les couvertures que je leur avais prêtées,
celles tricotées par ma grand mère, la personne que je voudrais
connaitre les avait trouvées magnifiques. J'étais déçue, il y avait deux couvertures bien pliées, et je n'aurai pas su dire dans laquelle il avait dormi.
J'ai passé la journée dans un état de déglinguement intérieur. L'aprem
j'ai un peu pleuré dans un champ. Parce qu'il y avait du soleil, pas
une âme qui vive, que j'étais morte de fatigue, que c'était trop bien,
qu'il était parti, que c'était fini, que je repensais à cette longue
conversation de la veille, et que la ville semblait si petite à
l'horizon, et qu'il y avait tant de brins d'herbe dans le champ, dans
tous les champs, dans le monde entier, tous ces brins d'herbe qu'on ne
connait pas et qui existent pourtant, il faudrait les découvrir un à
un, ne pas considérer l'herbe comme quelque chose d'uniforme.
Peut être que si on fait attention à chaque brin d'herbe à chaque endroit où l'on va, on finit par connaitre la vie.
Merci pour votre présence, vos idées, vos sourires, votre enthousiasme, vos qualités, vos cadeaux, vos encouragements. Vos vous-mêmes.
"Des draps blancs dans une armoire
Des draps rouges dans un lit" (Prévert, Premier Jour.)
Ecrit par choupi, le Samedi 4 Avril 2009, 22:23 dans la rubrique "(pour de vrai)".
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AboveTheClouds
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It was great. Totalement. Passe une bonne semaine ma grande.
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Linda
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Aaaaaaaaaaaaaaa
C'est fun.
Et, j'espère que tout ce que tu espères se réalisera, même si c'est de la foliiiiiiiiie !
Et tu sais, l'étiquette, bah je l'avais enlevée. Et puis je l'ai remise, une pulsion bizarre. J'ai un sizième sens, je le savais. =)
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choupi
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Oh mon dieu. Mon dieu, quoi. Trop dingue. Tu es géniale, avec ou sans 6ème sens d'ailleurs.
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justaimer
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c'était totalement génial. A refaire!! ^^ Et puis, bientot au rock avec lui!! ;-)
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à 13:59